La Brigade de recherches et d'intervention (BRI) de Daloa a mis fin aux agissements du sieur T.S., âgé de 21 ans, présumé auteur du vol de la moto de type Haojue.
La ville de Daloa, capitale de la région du Haut-Sassandra est désormais témoin d’une avancée significative dans la lutte contre les vols de motos grâce aux efforts de la Brigade de recherches et d’intervention (BRI) qui a mis la main sur le nommé T.S., âgé de 21 ans, présumé voleur de la moto de type Haojue, immatriculée KA 59. Cette opération témoigne de la détermination de la BRI à enrayer les actes de délinquance dans la ville.
Le Commissaire Beugré Dakoury saisi de la plainte
Tout a commencé le samedi 19 octobre 2024, lorsque le commissaire Beugré Dakoury, chef de la BRI de Daloa, reçoit une plainte d’un propriétaire de moto, victime d’un vol dans le quartier Orly 2. La victime explique que son engin, un modèle populaire dans la région pour sa robustesse et son adaptabilité aux routes locales, a été volée dans la nuit. Sans tarder, le commissaire Beugré Dakoury mobilise ses équipes pour traquer le coupable. La BRI, reconnue pour son efficacité dans les enquêtes minutieuses, lance aussitôt une série d’investigations ciblées pour retrouver la moto volée et identifier l’auteur du délit.
Les recherches de la BRI portent rapidement leurs fruits. Grâce à des techniques de filature et des renseignements recueillis dans le quartier, l’équipe d’intervention parvient à remonter jusqu’à T.S., un jeune menuisier ivoirien résidant également à Orly 2. Le suspect est appréhendé après plusieurs heures d’observations et de filature, le menant à son domicile pour une perquisition. Lors de cette intervention, les forces de l’ordre découvrent effectivement la moto dérobée. Les preuves sont accablantes, et T.S., confronté aux faits, n’a pas tardé à avouer son implication.
Sa stratégie consistait à identifier les engins laissés sans surveillance, particulièrement les modèles de type Haojue, très prisés dans la région pour leur valeur et leur facilité de revente
D’après les informations recueillies lors de l’interrogatoire, T.S. aurait agi seul, opérant de nuit et utilisant des méthodes d’effraction pour s’emparer de la moto. Sa stratégie consistait à identifier les engins laissés sans surveillance, particulièrement les modèles de type Haojue, très prisés dans la région pour leur valeur et leur facilité de revente. Ce modus operandi aurait permis au su (...)
Lire la suite sur linfodrome.com
lutte local enseignement jeu Daloa Sassandra information ivoirien permis
