Au 21e siècle, l'intimité n'a plus de secret sur les réseaux sociaux. Au quotidien, la fuite de données personnelles continue de faire jaser la toile. En Côte d'Ivoire, une jeune fille a envoyé une de ses vidéos intimes en vue unique sur WhatsApp et finit par se faire harceler au quotidien.
Sur les réseaux sociaux, précisément WhatsApp, une jeune femme aux initiales D.B.D. s’est fait harcelée après avoir envoyé une de ses vidéos intimes dans un groupe WhatsApp en vue unique. Selon la Plateforme de lutte contre la cybercriminalité (PLCC), la jeune femme aurait publié sa vidéo intime en vue unique dans un groupe WhatsApp, pensant être à l’abri du danger. A sa grande surprise, un individu l’a contacté et lui proposé une partie de jambes en l’air.
Une proposition indécente qui découle d’une vidéo intime
Après la publication de sa vidéo intime dans un groupe WhatsApp en vue unique, le cours de sa vie change, les choses ne sont plus les mêmes comme avant pour D.B.D. Quelques heures plus tard, un homme la contacte hors du groupe. Il affirme détenir une copie de la vidéo et exige qu’elle entretienne avec lui une relation sexuelle. La jeune femme, choquée, refuse catégoriquement. Le harceleur ne s’arrête pas là . Selon la PLCC, il multiplie les messages à caractère sexuel, change de numéros pour contourner les blocages, et menace explicitement de publier la vidéo sur les réseaux sociaux. Pour D.B.D., le cauchemar commence : pression psychologique, peur du scandale, honte familiale et menace de cyberexposition.
Elle rassemble les preuves, capture les messages, et pousse finalement la porte de la Plateforme de Lutte contre la Cybercriminalité (PLCC).
Après plusieurs jours d’intimidation, la jeune femme comprend qu’elle fait face à un cybercriminel tenace. Les menaces deviennent plus insistantes et les demandes plus explicites. Le harceleur prétend détenir plusieurs copies de la vidéo et promet de les diffuser publiquement si elle n’accède pas à ses exigences. Consciente du danger, D.B.D. décide de rompre le silence. Elle rassemble les preuves, capture les messages, et pousse finalement la porte de la Plateforme de Lutte contre la Cybercriminalité (PLCC), structure spécialisée rattachée à l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information (ANSSI).
La PLCC entre en action et identifie l’auteur
Saisie officiellement, la PLCC déclenche une enquête technique. Grâce aux traces numériques laissées par le harceleur, les enquêteurs réussissent &agr (...)
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DE LA SÉDUCTION AU CHANTAGE : L’HISTOIRE BOULEVERSANTE DE D.B.Dhttps://t.co/w5G4yFqPoT#anssici#plcc#cybersécurité#cybercriminalité#Interpellation pic.twitter.com/VHtX5zueXG
— PLCC CYBERCRIMINALITÉ (@PLCCcybercrime) November 14, 2025

