L'affaire défraie la chronique en ce moment en Eburnie.
Le décès du mannequin Awa Fadiga, le 25 mars 2014. Cette jeune fille de ses 23 ans, possèdait un magasin de lingerie. Et c'est cette « étoile »qui s'est brutalement éteinte, des suites d'une agression sauvage, perpétrée par d'ignobles individus. Depuis lors, le Centre hospitalier universitaire (Chu) de Cocody , où elle a rendu l'âme, est accusé, à tort ou à raison, d'avoir porté l'estocade finale, après avoir reçu le glaive porté par ces cruels criminels.Â
Pour ne plus laisser ce genre de comportement, malheureusement fréquents dans les hôpitaux publics, prospérer, un collectif est né, et veille pour que la vérité éclate et que tous ceux qui sont impliqués dans cette sale affaire, soient sanctionnés. Pour leur part, les autorités, en phase avec l'opinion publique, sont à pied d’œuvre pour situer d'abord les responsabilités. Il faut louer toutes ces démarches et autres actions qui, dire si oui ou non, c'est la négligence du corps médical ou plutôt le manque de matériels ou de médicaments au Chu,qui sont à la base de ce qui est arrivé... ? En attendant donc des réponses à ces préoccupations, l'on ne doit pas perdre de vue, la question sécuritaire.
En effet, il n'est point besoin de rappeler que certains chauffeurs de taxis-compteurs, constituent une véritable terreur pour les femmes, sans défense. Outre le cas Awa Fadiga, qui a éveillé les consciences, des victimes de ces dangereux prédateurs ne se comptent plus. Notons les cas où dans la seule nuit du 14 février 2014, jour pourtant dédié à l'amour, au moins quatre dames ont été agressées et dépouillées de leurs biens, par des chauffeurs, armés. Et ce de 20h à 23h dans la commune de Cocody. Bien avant, le 9 février 2014, deux femmes policiers ont été attaquées à la Riviéra alors qu'elles revenaient d'un mari (...)
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