Les populations de Daoukro ont encore du mal à comprendre l'attitude de H.E.T., ressortissant d'un pays de l'Afrique du nord et opérateur économique de son état, envers B. Bertine, sa fille de ménage.
L'homme s'est carrément déchaîné sur cette pauvre jeune fille qui, pourtant, lui fait si bien à manger, entre autre services.
En effet, pour ce que l'on apprend de cette affaire, le samedi 3 septembre 2016, H.E.T., propriétaire d'une boulangerie dans la ville, aidé ce jour-là de son frère cadet, se rue sur la bonniche. A deux, ils la séquestrent et la tabassent. Et curieusement, cette maltraitance, à laquelle ils sont en train de soumettre la fille de ménage, semble les exciter sexuellement. Un peu comme des masochistes. Ils décident donc d'orienter les choses autrement. Cette fois, ils optent pour la correction sexuelle.
A cet effet, l'opérateur économique et son frère mettent à poil la fille de ménage dans le but de savoir si elle est aussi « experte dans les reins » qu'elle ne l'est dans le ménage. Mais vraisemblablement, la tentative du viol collectif sous forme de partouze échoue. Les cris et les appels à l'aide de la pauvre fille, que ses bourreaux tentaient de jeter à la rue toute nue, ayant alerté le voisinage. Celui-ci intervient et la tire d'affaire.
La brigade de gendarmerie, saisie, dépêche des agents sur place. Si H.E.T. est appréhendé, ce n'est pas le cas de son acolyte de frère. Ce dernier, avant le débarquement des gendarmes, ayant réussi à s'enfuir, en quittant la ville.
B. Bertine, que nous rencontrons dans sa planque dans la matinée du lundi 5 septembre 2016, soutient qu’elle travaille depuis 5 ans chez cet opérate (...)
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