Tôt le matin du dimanche 18 mai 2014, le village d'Assangbadji a vécu une bien tragique scène.
Le nommé Yapo Alain, 40 ans environ, couturier a commis un parricide en donnant la mort de façon sauvage à son propre père, Kouao Yapo Hyacinthe alias ‘’ Sam Mangouanan’’, planteur. Selon les informations, le vieux planteur, depuis longtemps, vit à Assangbadji son village maternel. C'est là qu'il a construit sa vie familiale. Mais avec les années qui passent, l'homme n'est plus vraiment en odeur de sainteté avec ses propres enfants devenus grands. Ces rapports conflictuels finissent par contraindre le vieil homme à prendre une importante décision. A savoir, abandonner tout et poser désormais ses valises à Agbaou, le village de son père où il devrait à la vérité vivre. Une décision qu'il matérialise en 2013.
Sur place, une nouvelle vie commence pour l'homme qui, de toutes les façons, n'est pas du tout dépaysé. Plus tard, « Sam Mangouanan » se bâtit une maison. Seulement voilà , il n'y a pas de tôles pour couvrir le toit de cette nouvelle maison et la rendre habitable. Alors, que de mettre la main à la poche pour s'acheter des tôles, le planteur choisit plutôt de se rendre à Assangbadji, pour décoiffer sa maison qui y est afin de transférer les tôles sur son nouveau logis d'Agbaou. Le dimanche 18 mai 2014, aux alentours de 7h, c'est à cette œuvre qu'il veut s'adonner, lorsque s'interpose vigoureusement le plus intrépide de ses fils, le couturier Yapo Alain. Eclate alors une violente dispute entre le père et le fils. Dispute au cours de laquelle le couturier traite son géniteur de tous les noms. Allant jusqu'à l'accuser d'être cel (...)
Lire la suite sur Soir Info
village don Mangou information

