« La peur est passée. Les forces de l’ordre sont là . Nous essayons de renouer avec les activités en espérant qu’à l’avenir ce genre de situation ne se reproduira plus. » C’est l’essentiel des propos des riverains de Grand-Bassam rencontrés, ce lundi matin, par une équipe de reporteurs de la Rti.
Cette ville située à quelque 40 kilomètres d’Abidjan, a été le théâtre d’une attaque terroriste perpétrée par des individus armés. Le bilan fait état de 18 morts, 33 blessés et trois terroristes abattus.
Malgré ce drame, les lycées et collèges ont rouverts leurs portes. « Mes parents m’ont demandé de rester à la maison, mais j’ai préféré venir au cours ce matin », a témoigné un élève du lycée moderne 1 de Grand-Bassam joint au téléphone. Ce n’était pas la grande affluence, a-t-il ajouté. Avant de rapporter par ailleurs  qu’un groupe d’élèves se réclamant de la Fesci a délogé les quelques  élèves présents. « Nous sommes finalement rentrés en famille ».
La journée du dimanche continue d’alimenter les conversations. « Tout le monde était sous le choc. Nous étions tous inquiets, parce que les plages de Grand-Bassam sont fréquentées par plusieurs personnes dont nos connaissances ou amies. Nous redoutions le pire... », a-t-il poursuivi...
Lire la suite sur fratmat.info
téléphone Grand-Bassam monde don Abidjan élèves Fesci

