Yamoussoukro / Recrudescence de l'insécurité, Koné Zakaria aux Dozo : « Je ne veux plus entendre de bruit »
- Source: L'Inter
- Date: sam. 21 sept. 2013
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L'escalade de la violence ces derniers jours à Yamoussoukro, préoccupe les autorités du pays. En plus de l'établissement effectif dans la ville, depuis lundi dernier, d'une unité du CCDO, le commandant en second de la BASA, le Cdt Koné Zakaria, a été dépêché sur place hier jeudi 19 septembre, pour s'entretenir avec les dozo de la ville.
Réunis à l'hôtel de ville, Koné Zakaria, lui-même initié dozo, a précisé ne pas avoir été mandaté pour « dire qui des forces de l'ordre ou des dozo a raison dans le prétendu conflit qui les oppose ». « Je suis venu, j'ai entendu beaucoup de choses et sachez que les autorités qui m'ont envoyé sauront la vérité », a-t-il introduit, prévenant qu'il n'y aura pas d'impunité dans cette affaire. « Je ne veux plus entendre de bruits à Yamoussoukro. C'est une ville symbole et chacun a le devoir de protéger ce symbole. Le jour où j'apprendrai qu'un dozo est responsable de tel ou tel acte, vous ne me reconnaîtrez pas », a-t-il par ailleurs menacé. Il en a profité pour demander à ses pairs d'aider les forces de l'ordre dans leur mission de sécurisation de la ville. L'adjoint au maire, Koné Ibrahim, a espéré, au nom des populations, (...)
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Réunis à l'hôtel de ville, Koné Zakaria, lui-même initié dozo, a précisé ne pas avoir été mandaté pour « dire qui des forces de l'ordre ou des dozo a raison dans le prétendu conflit qui les oppose ». « Je suis venu, j'ai entendu beaucoup de choses et sachez que les autorités qui m'ont envoyé sauront la vérité », a-t-il introduit, prévenant qu'il n'y aura pas d'impunité dans cette affaire. « Je ne veux plus entendre de bruits à Yamoussoukro. C'est une ville symbole et chacun a le devoir de protéger ce symbole. Le jour où j'apprendrai qu'un dozo est responsable de tel ou tel acte, vous ne me reconnaîtrez pas », a-t-il par ailleurs menacé. Il en a profité pour demander à ses pairs d'aider les forces de l'ordre dans leur mission de sécurisation de la ville. L'adjoint au maire, Koné Ibrahim, a espéré, au nom des populations, (...)
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