Mondial 2014 : le groupe C pourrait cacher bien des surprises
- Source: L'Intelligent d'Abidjan
- Date: jeu. 12 déc. 2013
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Mon propos, cette semaine, porte sur le groupe dont les Eléphants ont hérité pour le premier tour de la Coupe du monde 2014, mais aussi sur la disparition de Nelson Mandela. Les pays qualifiés pour la phase finale de la 20è édition de la Coupe du monde de la FIFA connaissent depuis la semaine dernière leurs adversaires pour le premier tour de la compétition.
Au sortir d'un tirage au sort qui s'est montré « assez clément » pour la sélection nationale de Côte d'Ivoire, c'est un sentiment mi-figue, mi-raisin qui m'anime, eu égard aux adversaires des Eléphants. Certes par rapport aux éditions 2006 et 2010, les éléphants échappent au groupe dit de la mort.
Mais le groupe C, même si l'on estime qu'il est à notre portée, pourrait cacher bien des surprises. Il faut avoir le triomphe modeste et comprendre que rien n'est joué d'avance, face à la Grèce qui, ne l'oublions pas, a été championne d'Europe en 2004. Le Japon, l'une des puissances émergentes du football mondial et la Colombie qui reste l'un des grands du football sud-américain. Le défi, on le voit, est maintenant de ne pas sombrer dans une poule en apparence facile. Cela implique qu'il ne faut sous-estimer aucun adversaire. Cela commande surtout, de se donner les moyens, dès lors que l'on a les faveurs des pronostics, pour aller le plus loin possible dans la compétition.
Au moment où les délégations se préparaient pour le tirage au sort, le destin s'en mêlait avec la mort de Nelson Mandela. La disparition de Madiba est une grande perte pour l'Afrique du Sud, le continent africain et le monde, dont il était devenu la conscience morale. Homme de conviction, qui porta la lutte pour la justice et l'égalité entre les hommes à un niveau jamais égalé, Mandela restera, pour toujours, une référence et un repère pour l'humanité.
Chers amis, je ne saurais oublier le championnat national avec le troisième match nul d'affilé de l'AFAD le week-end dernier. Joueurs, entraîneurs et dirigeants ont-ils été trop tôt euphoriques ? Certes, l'équipe reste toujours sur le podium malgré ces résultats, mais il convient de tirer sur la sonnette d'alarme aujourd'hui, pour éviter toute surprise désagréable demain.
A la semaine prochaine.
Par Jacques Anouma
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Au sortir d'un tirage au sort qui s'est montré « assez clément » pour la sélection nationale de Côte d'Ivoire, c'est un sentiment mi-figue, mi-raisin qui m'anime, eu égard aux adversaires des Eléphants. Certes par rapport aux éditions 2006 et 2010, les éléphants échappent au groupe dit de la mort.
Mais le groupe C, même si l'on estime qu'il est à notre portée, pourrait cacher bien des surprises. Il faut avoir le triomphe modeste et comprendre que rien n'est joué d'avance, face à la Grèce qui, ne l'oublions pas, a été championne d'Europe en 2004. Le Japon, l'une des puissances émergentes du football mondial et la Colombie qui reste l'un des grands du football sud-américain. Le défi, on le voit, est maintenant de ne pas sombrer dans une poule en apparence facile. Cela implique qu'il ne faut sous-estimer aucun adversaire. Cela commande surtout, de se donner les moyens, dès lors que l'on a les faveurs des pronostics, pour aller le plus loin possible dans la compétition.
Au moment où les délégations se préparaient pour le tirage au sort, le destin s'en mêlait avec la mort de Nelson Mandela. La disparition de Madiba est une grande perte pour l'Afrique du Sud, le continent africain et le monde, dont il était devenu la conscience morale. Homme de conviction, qui porta la lutte pour la justice et l'égalité entre les hommes à un niveau jamais égalé, Mandela restera, pour toujours, une référence et un repère pour l'humanité.
Chers amis, je ne saurais oublier le championnat national avec le troisième match nul d'affilé de l'AFAD le week-end dernier. Joueurs, entraîneurs et dirigeants ont-ils été trop tôt euphoriques ? Certes, l'équipe reste toujours sur le podium malgré ces résultats, mais il convient de tirer sur la sonnette d'alarme aujourd'hui, pour éviter toute surprise désagréable demain.
A la semaine prochaine.
Par Jacques Anouma
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