Poursuites contre les ex-com'zones / Alassane Ouattara persiste et signe : « La Loi s'appliquera à tous » - « Les ONG ne sont pas la justice ivoirienne »

  • Source: L'Inter
  • Date: sam. 28 sept. 2013
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En séjour aux Etats-Unis, Alassane Ouattara a été amené à s'expliquer sur le refus du gouvernement ivoirien de livrer Simone Gbagbo à la Cour pénale internationale (Cpi).

Dans une interview diffusée hier vendredi 27 septembre, sur la radio britannique, Bbc, il a a expliqué que la Côte d'Ivoire a refusé de donner une suite favorable à la requête de la Cpi en vertu du principe de subsidiarité et de complémentarité, au nom duquel son pays est fondé à ne pas livrer l'épouse de l'ancien chef de l'Etat, Laurent Gbagbo.

Par ailleurs, a indiqué le chef de l'Etat, la justice de son pays est désormais fonctionnelle. « La justice de Côte d'Ivoire est aujourd'hui opérationnelle, par conséquent, il n'est pas question d'envoyer Mme Simone Gbagbo à La Haye. Elle sera jugée en Côte d'Ivoire », a répondu Ouattara, justifiant ainsi la décision prise par son gouvernement, quelques jours plus tôt, de ne pas exécuter le mandat d'arrêt lancé par la Cpi contre Mme Gbagbo et donc de ne pas la transférer à La Haye.

Par ailleurs, Ouattara a été invité à s'expliquer sur le cas des personnalités de son camp, sur lesquelles pèseraient des soupçons de crimes perpétrés pendant la crise post-électorale. Interpellé sur le cas spécifique de certains com'zones régulièrement cités par des organisations internationales des droits de l'homm (...)

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