En effet, informent nos sources, le mercredi 11 mars 2015, des éléments du commissariat de police du 32ème arrondissement, situé à Abobo, se tiennent en faction, au niveau de la structure « Agripac ».

Il est environ midi, et les flics ont l'attention attirée par un de leurs ''collègues''. Ce dernier est sanglé dans une tenue treillis de la Police nationale. Aux pieds, des rangers bien cirés. Mais seulement voilà, à leur vue, ''le collègue'' semble sérieusement gêné. Il veut même s'en aller très rapidement sans même leur rendre les civilités. C'est quand même curieux, une telle attitude nullement connue au sein de la police.

Alors, les éléments du commissariat de police veulent en savoir un peu plus sur cet agent. Ils l'interpellent et là, ils remarquent que celui qu'ils croient jusque-là être un des leurs, se met à trembler, comme une feuille morte. Et ce n'est pas tout. Lorsque son matricule lui est demandé et son service également, l'individu en question montre davantage de fébrilité. Et pis, il affiche des signes évidents, qu'il ne comprend rien à ce qui lui est demandé. Cela lui paraît, sans doute, du « javanais ». Il se met à bégayer.

Fouillé, il est découvert dans l'une de ses poches, ce qu'on appelle dans le jargon policier, une bande patronymique. C'e (...)

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