Moins d'une semaine après la mort atroce dans des conditions non encore totalement élucidées, de Mdl Yves Kayo, au sein de l'escadron de gendarmerie d'Aboisso (sud-Est ivoirien), les choses pourraient prendre une autre tournure. En tout cas, c'est ce qu'a laissé croire, le commissaire du gouvernement, le général Ange Kessi.
« Il faut savoir d’où le coup est parti. Est-ce que c’était à bout touchant, portant ou inclinant. Tout cela, il faut qu’on le sache. Il faut que le médecin légiste nous dise comment le coup est parti. S’il y a la poudre sur le menton, c’est qu’il y a suicide, mais lorsque la balle sort en laissant un gros trou, c’est qu’il a été tué. Tout cela, il faut le savoir », a-t-il dit, le mercredi 23 octobre 2019, au Tribunal militaire d’Abidjan, à Angré, au cours du point-presse trimestriel.
Mieux, le commissaire du gouvernement a ajouté qu’il a ordonné une autopsie, pour couper court à la polémique. Comme on le voit, la dépouille de Kayo Yves va parler au médecin légiste.
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