Enseignante dans l'éducation préscolaire, K. Laure n'oubliera pas de si tôt, la date du vendredi 2 septembre 20116. En effet, ce jour-là , son domicile, logé au 1er étage d'un immeuble à Koumassi, a été cambriolé par des bandits qui ont emporté d'importants biens.
Selon les informations mises à notre dispositions, le jour des faits, il est environ de 8h, quand l'enseignante qui sort d'une maladie, part de chez elle. Sa destination, Port-Bouët, pour rendre visite à sa famille et profiter également pour se refaire une beauté. Justement, c'est étant dans un salon de coiffure, que l'éducatrice reçoit un appel sur son téléphone-portable. Au bout du fil, son interlocuteur, le gérant de l'immeuble qu'elle habite. Ce dernier l'invite à rentrer au plus vite.
Mais de quoi retourne cette urgence ? La réponse à cette question est amère pour K. Laure. En effet, son interlocuteur lui indique qu'il s'est passée quelque chose de pas catholique chez elle où la porte a été défoncée. Dès lors, la pauvre ne perd plus une seule seconde. Elle saute dans un taxi et débarque à son domicile, situé dans les environs de la pharmacie Marais. Et là , l'enseignante tombe des nues. La porte d'entrée, effectivement défoncée, est grandement ouverte.
Lorsque K. Laure pénètre dans la maison, c'est la désolation. Tout (...)
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