Insécurité : 12 « microbes » arrêtés à Anyama et Yopougon


(Photo d'archives)
  • Source: Soir Info
  • Date: sam. 07 juin 2014
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Sale temps pour les « microbes », ces garnements qui ont décidé de régner et semer la terreur par la machette.

Après avoir longtemps été narguées, les forces de l'ordre ont pu porter un véritable coup de semonce au sein de ces parasites dans leur genre, en en neutralisant une bonne quantité. C'est dans la ville d'Anyama que la première opération est lancée.

En effet, informent nos sources, tôt le matin du vendredi 30 mai 2014, les « microbes », en nombre important, investissent un des quartiers de la ville. Ils agressent à la machette et dépouillent tous ceux qui ont le malheur de se retrouver sur leur chemin. Après avoir fait de nombreuses victimes, les jeunes criminels se volatilisent dans la nature. Peu de temps après, la base locale des Frci est saisie. Aux alentours de 7h, les militaires se déploient dans le quartier où se sont produites les agressions et opèrent un ratissage. Celui-ci permet de choper six individus, suspectés d'avoir participé à l'assaut criminel. Tous sont immédiatement mis à la disposition du commissariat de police, pour besoin d'enquête.

Mais avant, à la fouille de ces individus, les flics découvrent sur eux, une importante quantité de cannabis sous forme de joints, deux couteaux et un coutelas taillé dans un os d'animal, s'apparentant à celui de « Rahan », personnage des bandes dessinées vivant en forêt en compagnie des animaux sauvages. Plus tard, soit le vendredi 2 juin 2014, c'est à Yopougon que d'autres « microbes » vont connaître le malheur. Il revient en fait des informations, qu'aux alentours de 17h ce jour-là, un agent de la police municipale de Yopougon saisit le commissariat de police du 16ème arrondissement. Il explique que de jeunes gens, des « microbes » au nombre de vingt environ, munis d'armes blanches, se livrent à des agressions et autres exactions sur des populations riveraines du marché du quartier « Wassakara ». Sans perdre de temps, les éléments de la police et ceux du Ccdo foncent sur les lieux.

A leur vue, telle une bande d'animaux surprise par des chasseurs, les voyous fo (...)

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