Drame / Ferké : Le chef du complexe sucrier tué à coups de pilon !
La mort du directeur des plantations du complexe sucrier de Ferké-1 a jeté le personnel dans l'émoi.
- Source: L'Inter
- Date: lun. 14 oct. 2013
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Le personnel du complexe sucrier de Ferkessédougou est dans l'émoi. Son directeur des plantations, Arsène Brou, la cinquantaine révolue, a été retrouvé assassiné à son domicile, au petit matin du samedi 12 octobre 2013.
Ce drame intervient, selon une dépêche de l'Agence ivoirienne de presse, au moment où la SUCAF-CI organise depuis la veille (vendredi), des journées en faveur de la jeunesse dans la mise en œuvre de sa nouvelle politique de rapprochement avec son personnel et les populations vivant sur ses sites de Ferké 1 et Ferké 2. Sur les circonstances de cette tragédie, notre source n'en dit pas plus.
Sauf que sur les lieux du crime, il a été découvert deux (02) pilons ensanglantés ayant, probablement, servi à tuer le chef du complexe sucrier. Pour les besoins de l'enquête, la gendarmerie a entendu, dans la soirée, les membres de la famille de la victime (sa femme et ses enfants), sans oublier la domestique qui a découvert le corps. En effet, c'est entre 5 heures et 6 heures du matin que la servante a retrouvé, au salon, son patron qui gisait dans une marre de sang, la tête et les bras fracassés. Aussitôt, cette dernière aurait alerté la maîtresse des lieux qui serait restée indifférente.
Pou (...)
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jeunes CAF Ferkessédougou gendarmerie ivoirien
Ce drame intervient, selon une dépêche de l'Agence ivoirienne de presse, au moment où la SUCAF-CI organise depuis la veille (vendredi), des journées en faveur de la jeunesse dans la mise en œuvre de sa nouvelle politique de rapprochement avec son personnel et les populations vivant sur ses sites de Ferké 1 et Ferké 2. Sur les circonstances de cette tragédie, notre source n'en dit pas plus.
Sauf que sur les lieux du crime, il a été découvert deux (02) pilons ensanglantés ayant, probablement, servi à tuer le chef du complexe sucrier. Pour les besoins de l'enquête, la gendarmerie a entendu, dans la soirée, les membres de la famille de la victime (sa femme et ses enfants), sans oublier la domestique qui a découvert le corps. En effet, c'est entre 5 heures et 6 heures du matin que la servante a retrouvé, au salon, son patron qui gisait dans une marre de sang, la tête et les bras fracassés. Aussitôt, cette dernière aurait alerté la maîtresse des lieux qui serait restée indifférente.
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