Economie/Finance

Côte d'Ivoire : Tata Steel plie bagage

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Le groupe indien entreprend des négociations pour la cession de ses parts dans Tata Steel Côte d'Ivoire. "Jeune Afrique" dévoile les raisons de ce départ.

Alors que ses ambitions sur jeuneafrique.com/21523/economie/c-te-d-ivoire-les-indiens-misent-sur-le-fer/">les gisements de fer des monts Gao et Tia sont contrariées, Tata Steel a décidé de quitter la Côte d’Ivoire, selon les informations recueillies par Jeune Afrique.

Non seulement le groupe devait s’assurer de disposer d’électricité en suffisance, mais il dépendait aussi et surtout de la réalisation du projet de chemin de fer devant relier la zone de production au port de San Pedro, qui tarde à se concrétiser. Enfin,jeuneafrique.com/235443/economie/fer-les-cours-devraient-rester-bas-avant-de-remonter-en-2017/"> les cours mondiaux du fer, en pleine tendance baissière, ont fini par décourager l’indien.

Camps démontés

La compagnie, qui siégeait au sein de la cellule infrastructures de la présidence ivoirienne pour le développement de la partie rail du projet, a d’ores et déjà informé jeuneafrique.com/30248/economie/philippe-serey-eiffel-l-homme-qui-murmure-l-oreille-d-ado/">Philippe Serey-Eiffel, le secrétaire général adjoint chargé des infrastructures. Et Mukesh Ranjan, le directeur général de sa filiale ivoirienne, a quitté le pays après avoir réduit la voilure dans l’Ouest en démontant les trois camps miniers et en donnant leur congé à environ 200 personnes. À Abidjan, l’équipe managériale fonctionne avec deux salariés qui traitent les affaires courantes...

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