Le lundi 8 juillet 2013, à l'hôtel Pullman au Plateau, en prélude à la campagne nationale de lutte contre la corruption qu'il lance dans quelques heures, le Secrétariat national à la gouvernance et au renforcement des capacités (Sngrc) a organisé une cérémonie de présentation de ladite campagne, à l'attention de journalistes, des patrons de presse et de responsables de communication d'institutions.
Avec une agence de communication qui a fait une enquête sur ledit fléau en Côte d'Ivoire, des révélations ont été faites. Ainsi, les invités ont noté qu'au cœur du service public, « la corruption touche des services administratifs essentiels, notamment ceux qui sont le plus en rapport avec la population ». Il s'agit, selon le rapport présenté par Steve Fayomi de cette agence, des ministères de l'intérieur, de l'éducation, de l'économie, de la fonction publique, de la santé et de la justice.Selon le présentateur, la corruption est certes observée ailleurs, mais l'étude a montré que l'effet de la corruption est assez grave dans ces ministères proches de la population. C'est pourquoi l'objectif de la campagne est d'aller au-delà de la dénonciation. Et donc regarder le fléau en face. Ainsi, a expliqué M. Fayomi, les annonces publicitaires « ça a tué mon fils », « ça a tué ma femme », « ça a détruit ma région », « ça a ruiné mon pays ».... ont été faites à dessein pour choquer. Cela, dans l'objectif de (...)
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