La boîte de pandore semble être ouverte. Après les 8 400 soldats issus des Forces armées des forces nouvelles (Fafn), les fonctionnaires, les gendarmes…, c'est au tour des propriétaires terriens du site devant arbitrer le stade olympique d'Anyama, de réclamer 5 milliards 700 millions de F Cfa à Alassane Ouattara et à son gouvernement, au titre des droits de purge.
Si, à part les premiers mutins, les autres grévistes et soldats peinent à avoir gain de cause, ce n’est pas le cas pour les propriétaires terriens des villages d’Anyama-Zossonkoi et Anyama-Ebimpé. On peut le dire : ils sont de véritables veinards. C’est que, après quelques murmures, 300 millions de F Cfa viennent d’être décaissés pour amortir un peu leur colère. «Les travaux ont commencé. Ceux-ci sont prévus pour durer 34 mois. Nous n'avons encore rien reçu. Même 5F. Pourtant, on dilapide de l'argent ailleurs. Les gens nous ont pris le m2 à 2000 F Cfa. C'est un prix dérisoire ça! », a fait savoir M.C, un des propriétaires terriens.
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Yapi M. A, a expliqué, quant à lui, que chaque fois qu'ils ont approché les Chinois, ceux-ci leur ont dit ceci : « Allez voir gouvernement... ». « Effectivement, lors d'une rencontre avec des représent (...)
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