Le Général Siaka Dosso a publié un démenti ferme sur ses réseaux sociaux, qualifiant les allégations d'« intox » et appelant à ne pas céder à la désinformation.
Le jeudi 12 septembre 2024, des rumeurs ont enflammé les réseaux sociaux en Côte d'Ivoire, affirmant que le Directeur général adjoint de la police, le Général Siaka Dosso, aurait été arrêté par la Direction de la surveillance du territoire (DST).
Ces informations faisaient état d'une prétendue implication de l’officier dans des manœuvres visant à fomenter des troubles à Abidjan, en amont d'une manifestation prévue pour le 13 septembre. Selon les messages en circulation, le Général Dosso aurait été interpellé pour avoir ourdi des troubles lors d'une manifestation organisée par le mouvement Agir pour le Peuple (AGIP).
INTOX, INTOX !!!
Très vite, ces rumeurs ont pris de l’ampleur, alimentées par plusieurs publications non vérifiées sur les réseaux sociaux, suscitant de nombreuses réactions au sein de la population.
Face à la montée de ces informations non fondées, le principal concerné, le Général Siaka Dosso, n’a pas tardé à réagir pour clarifier la situation. En soirée, il a publié un démenti ferme sur ses réseaux sociaux, qualifiant les allégations d’« intox » et appelant à ne pas céder à la désinformation.
« INTOX, INTOX !!! Ne cédons pas à la désinformation et aux rumeurs. Je tiens à rassurer l’ensemble de la population ivoirienne que je suis en service et que je continuerai à travailler pour la sécurité et le rayonnement de la Côte d’Ivoire », a clarifié l'officier supérieur.
Pour renforcer ses propos, il a précisé avoir dirigé une réunion importante ce même jour : « Ce jeudi 12 septembre 2024, en ma qualité de Contrôleur Général de Police, Directeur Général Adjoint Chargé de la Sécurité Publique, j’ai dirigé dans la salle de conférence de la Direction Générale de la Police Nationale une réunion de service d’ordre et de s&eac (...) INTOX, INTOX !!!
Ne cédons pas à la désinformation et aux rumeurs.
Je tiens à rassurer l’ensemble de la population... #alertes_100_Fakenews
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Une campagne de fakenews probablement coordonnée est en cours.
Poster ou relayer des fausses informations est passible de poursuites pénales. pic.twitter.com/5Hz2ZzGWxl
