Intervenant à le GouvTalk, tribune d'échanges mensuelle en ligne, le ministre des Transports a annoncé des mesures dans le secteur d'ici les mois à venir.
Le jeudi 10 février 2022, c’était au tour du ministre des Transports de s’entretenir avec les internautes. A cette occasion, il a fait part de plusieurs mesures dont un nouveau dispositif d’immatriculation avec un contrôle strict aux frontières. Et ce dans le mois de mars 2022.
Les raisons évoquées
Le ministre Amadou Koné a révélé une grosse pagaille dans le circuit des plaques d’immatriculation. Cela est causé par la fraude des châssis qui a été observée dans le milieu. « Il y a de vraies fausses plaques d’immatriculation. Il y a une lenteur dans la mise à disposition des plaques. Il n’y a pas de base de données intégrée » a-t-il révélé avant d'expliquer que c’était aussi la cause des difficultés rencontrées sur la vidéoverbalisation.
Les problèmes de la vidéoverbalisation
Plusieurs automobilistes se plaignent d’avoir été interpellés par la vidéo surveillance alors qu’ils n’étaient pas au volant de leur véhicule. A ce niveau, le ministre a laissé entendre que la fraude de ces châssis causait la reproduction d’un même numéro. Mais avec des plaques d’immatriculation différentes.
La grande difficulté au niveau de la vidéo verbalisation porte sur l’identification des véhicules
Ce qui fait qu’un véhicule peut être garé à la maison pendant qu’un autre en circulation, ayant le même numéro de châssis est vidéo verbalisé. « La grande difficulté au niveau de la vidéo verbalisation porte sur l’identification des véhicules. Mais nous allons continuer à améliorer le système. Les difficultés seront traitées » a-t-il rassuré.
Il fait savoir par ailleurs qu’« au-delà des données erronées parfois, si vous payez une fois, il n’est pas question de payer une d (...)
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