L'information va assurément écorner l'image de la Cour pénale internationale (Cpi) et jeter un lourd discrédit sur cette juridiction internationale.
De quoi s'agit-il ? C'est un site d'information anglais, « Thelondoneveningpost.com », qui a balancé l'information sur la toile le 3 juillet 2016, laquelle a été reprise par un journal en ligne de la place le vendredi 6 août 2016. Selon le confrère anglais, des soupçons de corruption pèsent sur la juge, présidente de la Cpi, l'Argentine Silvia Alejandra Fernandez de Gurmendi.
A en croire le site d'information anglais, plusieurs millions de dollars auraient transité par des comptes bancaires de la juge, qui ont servi à soudoyer des témoins, dont les informations ont permis l'inculpation du président soudanais, Omar el-Béchir. « Les informations en possession de The London Evening Post font état de ce que, entre 2004 et 2015, la présidente de la Cpi, d'origine argentine, la juge Silvia Alejandra Fernandez de Gurmendi aurait reçu dans ses comptes bancaires privés à Banco Popular, dans les îles Vierges, la première banque des Caraïbes, dans les Bahamas et la Congrégation B'nai Israël, des fonds relevant de montage, estimés à 17 millions de dollars( plus de 8,5 milliards Fcfa) pour corrompre les témoins qui ont permis à la Cpi d'inculper le président soudanais », écrit le confrère anglais.
Plus explicite, l'auteur de l'article donne des précisions sur le circuit par lequel a transité ce magot : « Les fonds auraient été acheminés par le biais des comptes du juge de Gurmendi par Barting Holding Ltd, Atlantic Corporation, Genesis International Holding et Napex International, qui sont toutes de sociétés financières offshore, qui auraient fait des virements allant (...)
Lire la suite sur Soir Info
don fonds Cour pénale internationale Cpi corruption information permis

