Politique

Activisme politique : La police aux trousses de partisans de Ouattara à Paris - Ce qu'ils ont fait à un pro-Gbagbo en présence de Power, Yodé et Siro

post-img

Sale temps en ce moment en France pour les membres d'un groupe des cyber-activistes qui s'en sont pris, dans la nuit de jeudi à vendredi dernier à Johnny Patcheko Antonio, également cyber-activiste, partisan de l'ex-président Laurent Gbagbo, à qui les autres reprochent ses virulentes attaques sur les réseaux sociaux contre le président Alassane Ouattara.

Estimés, selon plusieurs témoignages, à une douzaine de gros-bras, ces bourreaux ont tous déserté leur appartement, à l’exception d’Hamed Fofana. Ce dernier a eu les pieds moins agiles le jour des faits qui leur sont reprochés. Interpellé sur les lieux par la police française, Hamed fait l’objet d’une enquête devant permettre de mettre la main sur ses copains qui se sont tous planqués.

En effet, dans la nuit du jeudi 20 août dernier, autour de 5h du matin, les membres de ce groupe pro-Ouattara, arrivés au bar ''Vandôme'' appartenant à un jeune ivoirien, à Aubervilliers, dans le 93ème arrondissement, y ont aperçu Johnny Patcheko. Les reconnaissant à partir des réseaux sociaux, leurs mouvements a fini par attirer l’attention de l'activiste pro-Gbagbo qui partageait une table dans la boîte de nuit avec des amis, dont les artistes Glazaï Dohoun Kevin et Boni du groupe RAS. Voyant le danger venir, Boni décide d’aller à la rencontre des pro-Ouattara pour les inviter au pardon, au cas où leur volonté serait vraiment de s’en prendre à Patcheko. Mais, la fermeté de ces visiteurs, rejoints par d’autres amis arrivés comme du renfort, ne donnera aucune chance &agra (...)

Lire la suite sur L'Inter


don Laurent Gbagbo Alassane Ouattara jeu France police ivoirien

Articles similaires