« J'ai déjà dit que je ne faisais pas de politique et je n'ai plus envie de refaire de la politique ». « Je pense qu'il serait bien que chacun d'entre nous mette ses rancœurs de côté… » « Je ne suis l'ennemi de personne, je suis l'ami de tout le monde… »
Voici quelques idées « pivot » qui se dégagent du long entretient que l’officier à la retraite, Henri Sama Damana  César a eu avec l’Aip, avant-hier samedi 17 janvier 2015  dans son fief de San-Pédro. Reconverti aujourd’hui « en expert en relations internationales », Henri Sama Damana  César travaille en ce moment pour le compte d’une importante entreprise spécialisée dans le domaine des finances et de l’agriculture. « J’ai déjà dit que je ne faisais pas de politique et je n’ai plus envie de refaire de la politique. J’ai été militaire, j’ai déjà expliqué les raisons de mon exil et j’ai aussi expliqué le raisons de mon retour. Quand vous êtes en exil que les plus hautes autorités de l’Etat dépêchent une mission pour discuter avec vous et vous demandent de rentrer, le moins qu’on puisse faire, c’est de répondre à cet appel et de venir » explique  l’officier, les circonstances de retour en Côte d’Ivoire. Qui exhorte, tous les fils de ce pays « à se mettre ensemble pour œuvrer à l’avancement de la Côte d’Ivoire ».
Selon lui, ce « n’est pas faire de la politique politicienne que de dire que je suis fils de la Côte d’Ivoire et qu’il nous appartient de nous mettre ensemble ».  « Et moi, j’ai confiance en mon pays et j’ai confiance en la sécurité de ce pays » s’empresse-t-il d’ajouter, lui qui était un des fervents soutiens au régime déchu de Laurent Gbagbo lors de la crise post-électorale de 2010. « La preuve » poursuit-il, « vous me voyez, je circule librement, sans que quelqu’un me mette une quelconque pression. Je n’ai pas de sécurité personnelle, je n’ai pas de sécurité privée &ra (...)
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