Armée ivoirienne : la grogne des grognards


Certains y voient la main d'Issiaka Ouattara.
  • Source: Jeuneafrique.com
  • Date: mar. 25 nov. 2014
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D'anciens rebelles intégrés à l'armée, réclamant le paiement d'arriérés de solde, ont lancé un mouvement de protestation. Un message que le gouvernement a reçu cinq sur cinq.

Un militaire sans salaire peut se muer en révolutionnaire. Ou du moins en mutin, et parfois en racketteur. Cette équation a été démontrée à moult reprises en Côte d'Ivoire comme ailleurs sur le continent. jeuneafrique.com/actu/20141118T114541Z20141118T114526Z/" target="_blank">Cette fois, des soldats en colère réclamaient, entre autres, le paiement d'arriérés de solde pour la période 2009-2011.

Le 18 novembre, la protestation est partie de Bouaké, autrefois capitale des rebelles. Dans la deuxième ville du pays, des militaires ont barré les principaux axes routiers et jeuneafrique.com/actu/20141118T184623Z20141118T184555Z/" target="_blank">pris le contrôle des locaux de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI) afin de diffuser leurs revendications sur les ondes. Parmi les initiateurs de cette grogne, d'anciens rebelles intégrés à l'armée en 2009 à la suite des accords de Ouagadougou. Plusieurs sources y voient la main d'jeuneafrique.com/Article/JA2799p006.xml6/" target="_blank">Issiaka Ouattara, alias Wattao, éloigné en douceur au Maroc en septembre dernier pour y suivre une formation militaire.

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