"...On se demandait si je serais candidat jusqu'au bout parce que certains disent qu'on ne me voit pas ou qu'on ne me sens pas".
C'est ainsi que le candidat suscité par des proches à la présidentielle de 2015 a mis fin aux doutes concernant sa sincérité à se présenter aux élections. "Effectivement, j'ai une éducation africaine qui recommande qu'avant de se lancer dans un combat, on prend le soins de poser la question à ses parents pour avoir leur avis et leur bénédiction. Je ne pouvais pas me lancer dans une campagne sans avoir recueilli bien avant le sentiment de mes parents. C'est ce que j'ai fait aujourd'hui." Je leur ai posé la question suivante: c'est vrai, beaucoup de personnes viennent vous voir et vous demander que je sois candidat. Et après analyse, surtout celle de tous ceux qui ont fait la même analyse que moi, j'ai décidé d'être candidat. Je suis venu leur demander si peux être candidat et ils m'ont répondu "oui" massivement. Il m'ont dit "oui" massivement et ils ont fait des libations. Ils ont demandé aux ancêtres de m’aider dans cette mission. Ils m'ont donc assuré de leur soutien total et je les remercie pour cela. Merci parce que quand on a le soutien de ses parents, on est mieux outillé et blindé pour tous les combats..."
L'ex-ministre des affaires étrangères de Côte d'Ivoire n'entend être un faire-valoir au cours de cette présidentielle. Il croit en ses chances de remporter le scrutin d'octobre prochain. "...Je suis optimiste par (...)
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