Depuis une dizaine de jours, selon nos sources, il y a une rupture totale d'antirétroviraux (Arv) dans les structures sanitaires en charge des malades infectés par le Vih/Sida, dans le district sanitaire d'Abengourou.
Des malades en provenance de tous horizons de la capitale de l'Indénié (et même au-delà) qui veulent se ravitailler, sont donc renvoyés chez eux. Pire, on évite même de faire de nouveaux tests du Vih pour ne pas accroître le nombre de cas sans traitement.L'information a été livrée, le 20 août 2013, par un médecin, à la faveur d'une rencontre de la direction régionale de la santé de l'Indénié-Djuablin tenue à la sous-préfecture de Niablé. Le praticien dans son intervention a dit craindre le pire, vu qu'une fois entamé, le traitement aux Arv (qui se fait à vie) ne doit pas être interrompu au risque pour le malade de développer des résistances et de trouver la mort.
Une visite discrète dans le centre de santé à Abengourou où le plus grand nombre de ces malades est concentré, nous a permis de confirmer (...)
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don riz Abengourou information permis santé