La remise des dons qui intervient à la faveur du mois de jeûne chrétien et musulman, s'est faite, le vendredi 22 mars 2024 au sein de l'université Félix Houphouët-Boigny à Abidjan-Cocody.

« Le mandat présidentiel du Chef de l'Etat Alassane Ouattara pour la période 2021-2025, a été intitulé ‘'Une Côte d'Ivoire solidaire". Le Président de la République et les membres du gouvernement démontrent au quotidien que ce mot solidarité n'est pas vain. Pour ce mois doublement béni, puisqu'il s'agit à la fois du carême chrétien et musulman, le ministère a voulu faire un don aux différents acteurs de notre sous-secteur », a expliqué le ministre.

Et d'ajouter : « D'autres gestes de solidarité sont prévus. Nous allons dupliquer cette cérémonie de dons au niveau de l'université Alassane Ouattara de Bouaké ».

En termes de solidarité en 2023, a rappelé Adama Diawara, « au niveau des bourses d'études lancées en Côte d'Ivoire et hors Côte d'Ivoire, nous sommes à 85 644 secours financiers. On peut citer le taux de couverture en termes de restauration et d'hébergement des étudiants. Tout cela relève de l'acte de solidarité au niveau de notre sous-secteur Enseignement supérieur et Recherche scientifique ».

Il a annoncé que « pour l'année 2024, 41 190 cas de secours financiers peuvent être attribués, notamment à 5 000 étudiants issus de familles démunies ».

Il a assuré que ce sont toutes les universités et grandes écoles publiques d'Abidjan, toutes les structures d'enseignement supérieur et scientifique publiques comme privées qui sont concernées par l'élan de solidarité.

Bénéficiaire, le secrétaire national adjoint chargé de la Communication extérieure et exécutive de l'Association des Elèves et Etudiants musulmans de Côte d'Ivoire (AEEMCI), Mohamed Lamine Cissé, a traduit sa reconnaissance : « Nous avons reçu les dons du ministre Adama Diawara. Il le fait chaque année. Ce sont d'abord des mots de remerciements et de gratitude à son endroit pour ce geste qui va permettre à l'ensemble des élèves étudiants musulmans de Côte d'Ivoire, à travers l'AEEMCI, de pouvoir rompre sereinement leur jeûne et de pouvoir profiter également de cet instant de partage et de convivialité qu'offre le mois béni de Ramadan ».

CICG