Le ministre a rappelé que pour, appréhender les mécanismes du développement de l'Inde, le pays a organisé deux stages pour 53 de nos compatriotes. Ainsi, du 05 au 15 décembre 2022, de hauts cadres de notre pays, notamment 23 fonctionnaires, ont pu séjourner à Indorre pour s'imprégner de l'expérience de l'Inde en matière de bonne gouvernance. Lee 2ème groupe, constitué uniquement d'enseignants de langue anglaise, a bénéficié de cours de renforcement de capacités du 22 juillet au 18 août 2023. Ce groupe de trente enseignants a séjourné à Hyderabad, dans l'État de Télangana.

« Les deux groupes ont pu réellement profiter de leur séjour en Inde pour, à la fois, apprendre et comprendre les mécanismes du succès extraordinaire de ce pays dans la quête de son développement », a déclaré Koffi N'Guessan.

Il a également relevé que les innovations scientifiques et technologiques ont favorisé un changement qualitatif au niveau du pays, car si l'Inde fait partie des pays les plus peuplés, avec 1,4 milliard d'habitants, elle fait aussi partie des BRICS et le pays est autosuffisant dans tous les domaines.

Moustapha Sylla, représentant les 23 fonctionnaires, a affirmé que la formation sur la bonne gouvernance a été très enrichissante car elle a permis de maximiser leurs capacités et de les renforcer davantage : « cette graduation nous offre des opportunités pour notre vie professionnelle ».

Professeur en anglais représentant les 30 enseignants, Adjoumani Kouassi se sent mieux outillé désormais dans son domaine de compétences. « Nous avons suivi une formation intensive en anglais. Chaque jour a représenté une opportunité pour nous. Cette expérience continuera de guider nos carrières vers des sommets meilleurs », s'est-il réjoui.

Concernant Fatoumata Togola Baldé, chef de service Conception et Digitalisation, elle a souligné que ce séjour lui a permis « de voir des applications de qualité pouvant lui permettre de déceler facilement les failles informatiques ».

La cérémonie a pris fin par une remise de certificats de formation à une vingtaine de bénéficiaires.

Source : CICG