Idriss Deby : Tout sur son mariage qui a coûté 21 milliards de FCFA...

  • Source: Star Magazine
  • Date: mer. 26 mars 2014
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Tout a commencé en Novembre 2011, Idriss Deby en visite au Soudan, est invité à un diner, il rencontre Amani...

En décembre, en provenance de Doha, Idriss Deby se rend à Khartoum, il rencontre le président soudanais et lui fait part de sa volonté d'épouser Amani. Oumar El Béchir accepte de parrainer ce mariage. C'est à ce moment-là qu'Idriss Deby se rend chez Musa Hilal en compagnie du patron des services de renseignements soudanais, le général Mohammed ATTA ainsi que de son homologue tchadien, la demande de main est faite et les fiançailles conclues. Idriss Deby en provenance de Doha a déjà fait ses emplettes : 5 millions de dollars (2 milliards 500 millions de Fcfa) en or, diamants et bijoux sont offerts à Amani.

Plus de dix milliards de Fcfa au père de la mariée

A cette époque, Hinda, Première Dame, est en France pour des raisons de maternité, son père est Ambassadeur à Khartoum, il est écarté des rendez-vous de Deby. Mais dès le départ de celui-ci, la nouvelle explose ; l'information fait le tour de Khartoum : 26 millions de dollars en dowry pour la fille de Musa Hilal, cela ne peut être caché… La capitale soudanaise est surexcitée, il y a tout dans cette affaire pour en faire un sujet de commentaires : un chef d'Etat, une soudanaise future première dame, en plus, d'un pays voisin hier encore ennemi, un pays plein de pétrodollars, et un prétendant qui veut impressionner et donc à besoin de sortir le grand jeu. A quoi servent les revenus pétroliers, si ce n'est au bon plaisir du président sultan ?  Idriss Deby distribue des mallettes aux différents chefs tribaux qui accompagnent Musa Hilal venu lui faire une visite de courtoisie après les fiançailles.

A Khartoum, toutes sortes d'informations circulent, et c'est ainsi que Musa Hilal déclare : « Ma fille a 20 ans, elle est jeune, belle et intelligente, je n'ai pas besoin de la vendre .Il a vu ma fille à une soirée et est tombé amoureux fou d'elle. C'est la vie. Il est zaghawa, elle est arabe, les mariages interethniques ont toujours existé dans notre pays.» Amani, elle aussi intervient, pour faire taire les mauvaises langues : « Personne ne m'a forcée à ce mariage, nous ne sommes plus au M (...)

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