Visite du chef de l'Etat dans le Gbêkê : Des forces de l'ordre en colère - Ce qu'ils réclament
- Source: Soir Info
- Date: mer. 27 nov. 2013
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Les fonctionnaires de Police des localités de Béoumi et de Botro où le chef de l'Etat, en visite dans la région du Gbêkê, doit se rendre, ne sont pas contents.
Pour manifester leur colère, ils menacent de débrayer. Au centre de leur révolte, le traitement dont ils disent être l'objet. De fait, ils jugent « insuffisante » la prime qui leur est octroyée. Cette prime élevée à dix mille (10.000) francs Cfa pour certains et quinze mille (15.000) francs Cfa pour d'autres. « On ne peut pas nous mobiliser pour la tournée du Président de la République et remettre dix mille à chaque sous-officier et quinze mille francs Cfa à un officier pour cinq jours.
Nous estimons qu'on ne nous a pas donné les vrais montants. C'est pourquoi, nous voulons une explication claire sur les primes que doivent percevoir les policiers en pareilles circonstances », a martelé K.J. un sous-officier de l'une de ces localités avec qui nous avons eu un entretien téléphonique, le mardi 26 novembre 2013, dans l'après-midi.
Pour lui comme pour ses collègues qui étaient à ses côtés, il faut une solution rapide afin qu'ils assurent comme il se doit la sécurité urbaine pour la réussite de la visite du chef de l'Etat. « Nous ne voulons pas être angoissés en étant en fonction. Nous interpellons ici même la hiérarchie afin qu'elle règle ce problème », a-t-il conclu. La gro (...)
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don local Béoumi Botro Police fonctionnaires
Pour manifester leur colère, ils menacent de débrayer. Au centre de leur révolte, le traitement dont ils disent être l'objet. De fait, ils jugent « insuffisante » la prime qui leur est octroyée. Cette prime élevée à dix mille (10.000) francs Cfa pour certains et quinze mille (15.000) francs Cfa pour d'autres. « On ne peut pas nous mobiliser pour la tournée du Président de la République et remettre dix mille à chaque sous-officier et quinze mille francs Cfa à un officier pour cinq jours.
Nous estimons qu'on ne nous a pas donné les vrais montants. C'est pourquoi, nous voulons une explication claire sur les primes que doivent percevoir les policiers en pareilles circonstances », a martelé K.J. un sous-officier de l'une de ces localités avec qui nous avons eu un entretien téléphonique, le mardi 26 novembre 2013, dans l'après-midi.
Pour lui comme pour ses collègues qui étaient à ses côtés, il faut une solution rapide afin qu'ils assurent comme il se doit la sécurité urbaine pour la réussite de la visite du chef de l'Etat. « Nous ne voulons pas être angoissés en étant en fonction. Nous interpellons ici même la hiérarchie afin qu'elle règle ce problème », a-t-il conclu. La gro (...)
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