Ambassade des USA en Côte d'Ivoire : Des révélations sur le départ de Philip Carter III - Comment le diplomate a fâché le pouvoir
- Source: Soir Info
- Date: sam. 29 juin 2013
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Alors qu'il était en première ligne de l'offensive ayant abouti à la chute de Laurent Gbagbo pour installer Alassane Ouattara, proclamé vainqueur du scrutin par la Cei, dans le fauteuil présidentiel, Philip Carter III, l'Ambassadeur des Etats-Unis en Côte d'Ivoire, a fini par se brouiller avec le régime d'Abidjan.
Ce qui, explique, selon Jeune-Afrique, son départ de Côte d'Ivoire. Aujourd'hui, entre Abidjan et le diplomate américain, « c'est le je t'aime, moi non plus ».
Aujourd'hui, c'est peu de dire que les relations entre lui et le pouvoir d'Abidjan ont tourné à l'orage… Philip Carter III a mis sa tête à prix, lorsqu'il s'est dégagé de ses engagements et contraintes diplomatiques envers Abidjan pour revêtir le manteau de « justicier et de défenseur des droits de l'homme ». C'est pourquoi, son départ « ne serait pas vue d'un mauvais œil par le chef de l'Etat, Alassane Ouattara » rapporte une source qui s'est ouverte à J.A dans son édition en ligne du jeudi 27 juin 2013.
Son rapport (que Soir-Info a publié intégralement sur trois publications en mai 2013), ses déclarations publiques, ses petites confidences et autres notes diplomatiques, faites sur le régime d'Abidjan, ont mis le feu aux poudres entre lui et les autorités ivoiriennes.
Philip Carter III était devenu, pour ainsi dire, le poil à gratter de ceux qu'il soutenait hier contre Laurent Gbagbo. « Tançant ouvertement le gouvernement sur les questions de droits de l'homme et de justice, Philip Carter III, encore en poste, au (...)
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Côte d'Ivoire Abidjan Afrique Laurent Gbagbo Alassane Ouattara jeu Cei Etats-Unis gouvernement ivoirien
Ce qui, explique, selon Jeune-Afrique, son départ de Côte d'Ivoire. Aujourd'hui, entre Abidjan et le diplomate américain, « c'est le je t'aime, moi non plus ».
Aujourd'hui, c'est peu de dire que les relations entre lui et le pouvoir d'Abidjan ont tourné à l'orage… Philip Carter III a mis sa tête à prix, lorsqu'il s'est dégagé de ses engagements et contraintes diplomatiques envers Abidjan pour revêtir le manteau de « justicier et de défenseur des droits de l'homme ». C'est pourquoi, son départ « ne serait pas vue d'un mauvais œil par le chef de l'Etat, Alassane Ouattara » rapporte une source qui s'est ouverte à J.A dans son édition en ligne du jeudi 27 juin 2013.
Son rapport (que Soir-Info a publié intégralement sur trois publications en mai 2013), ses déclarations publiques, ses petites confidences et autres notes diplomatiques, faites sur le régime d'Abidjan, ont mis le feu aux poudres entre lui et les autorités ivoiriennes.
Philip Carter III était devenu, pour ainsi dire, le poil à gratter de ceux qu'il soutenait hier contre Laurent Gbagbo. « Tançant ouvertement le gouvernement sur les questions de droits de l'homme et de justice, Philip Carter III, encore en poste, au (...)
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