Yopougon : Un couple retrouvé mort dans sa chambre avec la nuque de la femme brisée


Les corps sans vie du couple dont la mort n'a pas encore livré la vérité. (Photo d'illustration)
  • Source: linfodrome.com
  • Date: sam. 22 fév. 2020
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Une horreur s'est produit au quartier « Micao » à Yopougon. Précisément au sous-quartier dit « Déguerpi », dans le secteur de la Zone industrielle. Un couple y a été découvert mort à son domicile, avec des indices qui suscitent beaucoup d'interrogations.

Nous sommes, le mardi 19 février 2020. Et ce jour-là, indiquent nos sources, un homme répondant aux initiales B.T, se présente aux alentours de 15h, à la police. Il explique aux flics, que le sous-quartier « Déguerpi » qu'il habite, est en ce moment même sur un pied.

L'air complètement troublé, il s'empresse aussitôt de préciser que ce n'est pas une insurrection. C'est plutôt qu'un couple habitant ce quartier et connu de tous, est découvert mort chez lui.

Sur ses indications, les agents de police, qui ne perdent plus une seule seconde, foncent sur place. Sur les lieux, ils découvrent du monde autour du logis où la macabre découverte est faite. Par des moyens qui leur sont permis, les éléments des forces de l'ordre réussissent à tenir à distance la foule, pour lui éviter de souiller la scène du crime, en effaçant des indices qui pourraient être utiles à l'enquête.

Cela fait, ils pénètrent dans la demeure. Précisément dans la chambre. Dans la pièce, ils découvrent effectivement le couple mort. Sur le lit, se trouve le cadavre du mari. Il s'agit de Guéi Alidé, un homme de 45 ans, machiniste à la société « Rodis », située en Zone industrielle.

Étendu sur le ventre, les policiers le retournent. Là, ils remarquent dans sa bouche, la présence d'une espèce de poudre de couleur grisâtre. Une substance nocive apparemment.

Sa femme, elle, du nom de Nadège Néobly, 27 ans, agent contractuelle à la société « Nutri », est couchée à même le sol, dans une mare de sang. Étendue sur le dos, cette dernière, vêtue d'une robe bleue à motifs, porte des traces de violences, contrairement à son conjoint. Notamment au visage, carrément tuméfié par des coups reçus vraisemblablement de façon violente.

Retournée sur le ventre, les agents de la police d&e (...)

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