Disparition de Kieffer : La justice ivoirienne sur des pistes françaises


(Photo d'archive)
  • Source: linfodrome.com
  • Date: lun. 04 sept. 2017
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« Personne ne sera protégé », déclarait Alassane Ouattara, chef de l'État ivoirien, le 12 avril 2012, à l'occasion des 10 ans de disparation du journaliste franco-canadien, Guy-André Kieffer.

13 ans après l'enlèvement du journaliste sur le parking d'un super-marché à Marcory, alors qu'il y avait rendez-vous avec Thiery Légré, défunt beau-frère de Simone Gbagbo, les enquêtes piétinent. Une conjoncture qui révulse la justice ivoirienne, qui veut entendre, dans ce dossier, deux hommes d'affaires français. Il s'agit, notamment du banquier d'affaires Stéphane de Vaucelles, ex-employeur de Kieffer au sein du cabinet Commodity Consulting Company, et un autre. Mais, les choses vont au petit trot, du côté des juges français. Ce qui semble hérisser leurs collègues ivoiriens.

A lire aussi: Les aveux d'un témoin sur la disparition de Guy André Kieffer

Selon Jeune Afrique, dans sa livraison N° 2955 du 27 août 2017, en page 8, dans la rubrique « Confidentiel », un article paru sous le titre : Affaire Kieffer. A un train de sénateur », l'hebdomadaire panafricain fait état des griefs de la justice ivoirienne, relatifs à la lenteur constatée à Paris. « La justice ivoirienne se plaint de la lenteur de Paris dans l'enquête sur la disparition, le 16 avril 2004 à Abidjan, du journaliste franco-canadien Guy-André Kieffer ».

De fait « sa commission rogatoire, lancée e (...)

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