Gestion de l'État / Crises politique, économique, sociale,... : Ouattara sans pitié pour Gbagbo
• Ce qu'il dit d'Houphouët et de Bédié
- Source: linfodrome.com
- Date: lun. 31 juil. 2017
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Sur les marchés, les prix sont intacts. « Le gouvernement dit prendre ces mesures pour lutter contre la vie chère mais il nous encourage plutôt à augmenter les prix. Moi, je fais le kilo du riz dénicachia (riz de grande consommation 25 % brisure ; ndlr) à 300 F Cfa, lorsqu'on me dit que le plafonnement limite le prix à 347 F Cfa ; c'est que je peux augmenter sans problème », nous a confié Diallo Mamadou, vendeur de riz en gros et en détail, au marché de Koumassi. Là-bas, le litre d'huile se vend au prix de 1000 Fcfa ; le kilogramme de sucre roux et du sucre blanc, est à 700 et 800 F Cfa. C'est le même prix au marché de Marcory.
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« Si le gouvernement veut que la population mange à sa faim, il doit réduire les taxes douanières car, les plantations de riz que nous avons ici, ne sont pas suffisantes pour nourrir la population. Si les taxes diminuent, les prix diminueront simplement. On ne peut pas plafonner des prix, sachant que nos prix d'achat varient selon des périodes», a dénoncé Caribou Koné, commerçant de denrées de première nécessité. Dans ces communes, un sac de 50 kg de riz semi luxe, varie d'un magasin à un autre, avec une majoration de 100 à 250 F Cfa. Quant à la tomate concentrée, le prix de la boite de 2 kg varie de 2000 à 2 500 Fcfa, selon que le produit est local ou importé. Le bidon de 25 litres d'huile est à 22 500 Fcfa. Celui de 3 litres est à 2 900 voire 3 000 Fcfa d'un commerçant à un autre.
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