Réconciliation nationale : Pourquoi Ohouochi Clotilde dit ''non'' à Soro


(Photo d'archives)
  • Source: linfodrome.com
  • Date: jeu. 29 juin 2017
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L'appel au pardon et à la réconciliation dont se fait le chantre le président de l'Assemblée nationale, Guillaume Soro, ne fait pas l'unanimité dans tous les milieux politiques. La démission d'Ohouochi Clotilde de l'Union des réfugiés ivoiriens de France (URIF) en est l'illustration parfaite.

« Je porte à la connaissance de l'opinion générale ma démission de l'Union des réfugiés ivoiriens de France », a indiqué l'ancienne ministre de Laurent Gbagbo actuellement en exil en France. « Après Tiburce Koffi et Sidiki Bakaba, membres de l'URIF, c'est au tour de Michel Baroan, président de l'association, de rencontrer Franklin Nyamsi, l'émissaire de Soro Guillaume. Si la démarche de M. Koffi et M. Bakaba, semble purement individuelle et n'engage que leur personne, celle du président et du secrétaire général engage par contre l'ensemble de l'organisation, d'autant qu'il n'y a pas eu de concertation préalable. Après avoir entendu Michel Baroan et certains membres de l'URIF, j'ai pris la décision de démissionner », explique-t-elle.

Même si elle se dit disposée à aller à la réconciliation, Ohouochi Clotilde émets quand même des réserves sur ‘'la démarche initiée par M. Soro'' qui paraît, selon elle, ‘'douteuse, inopportune, non sincère''. « C'est de mon point de vue, un exercice politique à distance pour séduire l'électorat en vue de la présidentielle de 2020. Et la volonté de (...)

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