Révélations surprenantes sur le passé de chefs d'État dont Ouattara

  • Source: linfodrome.com
  • Date: jeu. 15 juin 2017
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On a l'habitude de les voir à la télévision ou encore lors de grandes cérémonies, mais très peu sont les initiés qui savent vraiment ce qu'ont vécu les chefs d'État africains durant leur jeunesse, ou à tout le moins, avant de trôner à la tête de leurs États respectifs.

Jeune Afrique (J.A), qui a consacré un dossier à la vie de quelques présidents africains, dans sa livraison du 11 au 17 juin 2017, révèle ce qu'ils ont vécu. En effet, avant de devenir le président de la République de Côte d'Ivoire, Alassane Ouattara, alors étudiant à la prestigieuse université de Pennsylvanie, aux États-Unis d'Amérique, en 1964, à l'Institut Drexel, a dû se transformer en chauffeur de taxi pour « arrondir ses fins de mois ». Même si, révèle le journal, il n'avait pas vraiment de problèmes d'argent. Il a tout de même décroché un contrat de chauffeur de taxi dans une petite entreprise de Philadelphie. Comme lui, le Roi du Maroc, Mohammed VI, a connu lui aussi un moment tout particulier. De fait, il a représenté son père, le Roi Hassan 2 aux obsèques de l'ancien président français, Georges Pompidou, en avril 1974, à Paris. Il était alors âgé de 10 ans.

Il vivait ainsi sa première sortie en tant que prince héritier du Royaume Chérifien et émissaire de son père, le Roi. Des témoignages rapportés par le confrère, soulignent que le Roi Mohammed VI se fait accompagner de plus en plus par Moulay El Hassan, son fils de 8 ans, au cours de ses voyages officiels. Patrice Talon, le président béninois, a aussi son petit côté qui n'est pas forcément connu de tous. Il est un grand amateur de musique, et joue de la guitare. Au milieu des années 1970, il est le leader de l'orchestre du lycée Toffa 1er de Porto-Novo.

À la veille d'un concert lors duquel il devait jouer un morceau de l'artiste congolais Franco, Patrice Talon, perfectionniste à souhait, a protesté contre certains de ses camarades qui, selon lui, ne maîtrisaient pas leurs partitions. « Cette nuit-là, nous l'avons tous trouvé chiant. Mais, comme c'était notre leader, nous avons tous été obligés de faire ce qu'il nous disait. Le lendemain, notre prestation fut la meilleure de la soirée. Nous étions tous satisfaits du travail fait », a confié un membre du groupe au journal panafricain. Ali Bongo Ondimba, derrière son air calme, distingué et réservé, est un féru de funk. Déjà à 18 ans, il se voit devenir une star de funk. D'ailleurs, en 1977, il enregistre un album baptisé « A brand new man », et se fait accompagner d'anciens c (...)

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